La mémoire cellulaire est une philosophie de l’auto-guérison, de l’autonomie et de la liberté. Elle postule que nos cellules, à l’insu de notre conscient, ont un mental et agissent en fonction de mémoires. 

Ce postulat a été posé par Mira Alfassa et Sri Aurobindo

On peut lire à ce sujet « le mental des cellules » de Satprem (écrit par le disciple de Mira Alfassa).

Nos cellules porteraient les mémoires collectives de notre espèce, nos mémoires familiales, la mémoire de nos parents, la mémoire de notre enfance et toutes nos expériences vécues.

Myriam Brousse, auteur de nombreux livres dont  » votre corps a une mémoire  » , est la fondatrice de l’école de mémoire cellulaire. Son approche consiste à interroger le vécu en passant par le corps. 

Sa pratique tend à démontrer que tout ce qui ne s’exprime pas s’imprime dans le corps.

Le corps sert de GPS et guide le travail qui permet d’interroger les mémoires, c’est la bio résonance cellulaire un des outils de la mémoire cellulaire.

Cette démarche permet de contacter la dimension du sens de notre existence au sens de Teilhard de Chardin.

L’autre outil fondamental sur lequel s’appuie cette méthode est la grille de vie, mise au point par Marc Fréchet, psychologue-clinicien-praticien hospitalier, qui démontre grâce à elle, que nos évènements de vie se produisent en résonance les uns avec les autres, de façon vibratoire.

Sa rencontre avec Myriam Brousse ajoutera l’implication du « projet sens » période qui déterminera nos futures répétitions de notre chemin de vie. Notre projet sens est composé : 

• des 9 mois avant notre conception, de la conception
• des 9 mois de notre vie, intra-utérine, naissance comprise. 

Cet outil rend la méthode pragmatique, tout est réel, concrèt et vérifiable, démontrant ainsi que les évènements de la vie sont en lien les uns avec les autres. Ce travail « d’archéologie », de datation est souvent époustouflant.

En interrogeant le corps, nous allons comprendre les schémas répétitifs de nos vies, en mettant de la conscience sur ses réitérations, nous pouvons aborder les choses avec plus de recul donc moins de souffrance, voire « la machine peut aussi se renverser ».